Le Breton est il soluble dans la mondialisation ?
Il semblerait que non, enfin, surtout depuis que l’europe a supprimé ses aides aux industries agro-alimentaire dont la péninsule est friande. (avez vous déjà humé la bonne odeur du lisier par delà ces celtiques contrées ?)
Résultat des courses, la révolte couve : attaque de sous-prefecture à la pelleteuse, portiques pour la collecte de l’impôt vert condamnés au bucher, des défilés d’indigènes à calottes turgescentes …
Dans les hautes sphères, l’inquiétude commence à gangrèner le cerveau de nos énarques.
De mon coté, la situation m’amuse plutôt. Non pas que je me delecte de l’actualité des licenciements outre Couesnon, mais je me prend à rêver que l’incendie s’étende.
Imaginons que d’autres régions, d’autres corporations (routers, paysans, etc.) se mettent eux aussi à fiche le bordel, barrages routier et tout le toutim.
A quelques semaines de la grande messe consumériste, il faut bien avouer que des magasins vides serait du plus bel effet.